Cette étude a utilisé des espèces de Lactobacillus comme modèle pour démontrer l’efficacité de l’analyse par cytométrie en flux d’imagerie dans l’étude de l’auto-agrégation microbienne. L’accent est mis sur l’analyse de la réponse de l’auto-agrégation des espèces de Lactobacillus aux glucides simples de l’alimentation. Les méthodes les plus utilisées pour mesurer l’auto-agrégation sont la photométrie spectrale, qui mesure les suspensions microbiennes, la turbidité ou la densité optique, et les techniques de microscopie traditionnelles, telles que le fond clair, le contraste de phase et la microscopie fluorescente.
Lorsque l’on parle d’imagerie à haut débit, l’un des principaux défis expérimentaux est la segmentation d’un seul événement. Dans ce protocole, il s’agit d’un agrégat unique. La cytométrie en flux d’imagerie relève ce défi avec élégance et offre aux chercheurs un outil puissant pour étudier l’autoagrégation.