Notre recherche examine comment la phéromone sexuelle volatile affecte le comportement masculin de C. elegans à l’aide d’un test de chimiotaxie. Il vise à identifier le mécanisme moléculaire de la production de phéromones et le mécanisme neuronal de celle-ci est la perception. La variabilité d’un ver à l’autre en réponse à la phéromone, associée à l’influence de facteurs environnementaux tels que la température, l’humidité et la lumière, peut introduire un bruit important dans les données.
De plus, la nature complexe des comportements des vers complique l’interprétation des données. Pour relever ces défis, il faut une conception expérimentale minutieuse. Le protocole est simple et hautement reproductible.
Il est conçu pour optimiser les phéromones tout en minimisant la consommation de temps et de ressources. Le test de chimiotaxie fournit des données quantitatives sur l’attraction masculine, permettant une analyse statistique et une comparaison. Ce protocole fournit une image complète de la communication des phéromones.