Notre objectif est de proposer un nouveau moyen de quantifier la concentration de thiols, en mettant l’accent sur les concentrations de GSH et de GSSG des différentes lignées cellulaires qui peuvent être réalisées in situ. Nous considérons qu’il s’agit d’un protocole utile pour la communauté scientifique. De nombreux efforts ont été déployés pour détecter des biomarqueurs de niche et spécifiques d’intérêt des espèces réactives de l’oxygène, et plusieurs ont révélé un grand intérêt pour la détection des espèces réactives de l’oxygène à courte durée de vie, telles que la détection radicalaire et les petites molécules telles que les hydroxyles et l’oxygène singulet.
L’un des principaux défis pour plusieurs institutions a été de détecter avec précision et précision les biomarqueurs d’intérêt sans avoir besoin d’équipement coûteux ou de processus laborieux. Ce protocole permet une analyse multiparamétrique, ce qui permet de normaliser les données sans avoir besoin de protocoles distincts, et de supprimer plusieurs étapes trouvées dans d’autres tests qui prennent beaucoup de temps, présentent des réactifs incompatibles ou utilisent des réactifs dangereux pour la santé. Le Groupe sur la sécurité des nanomatériaux continuera d’évaluer l’effet qu’ils peuvent avoir sur la santé humaine de divers nanomatériaux et polymères.
Nous considérons ce protocole comme une partie essentielle de notre boîte à outils pour atteindre cet objectif, car il peut potentiellement être multiplexé pour détecter des biomarqueurs supplémentaires.