Notre équipe vise donc à comprendre les mécanismes de pathogénicité fongique chez les plantes afin d’améliorer la gestion des maladies. Nous étudions actuellement comment le champignon autochtone du maïs régule la sécrétion de protéines au-delà de sa fonction d’entretien. Notre protocole montre une synchronicité élevée entre les réplications et la reproductibilité de la colonisation fongique.
De plus, avec nos tests, il n’est pas nécessaire d’effacer ou de fixer les échantillons avant de les imager en temps réel. La méthode offre une variété d’applications dans les interactions plantes-pathogènes et a contribué à des études détaillées sur les mécanismes de la pathogénicité fongique dans le maïs et à l’analyse génomique comparative.