Notre recherche décrit des méthodes reproductibles pour évaluer l’engagement précoce du devenir des cellules TFH spécifiques du virus, y compris l’établissement d’un modèle de souris monoclonale aiguë infectée par le LCMV, la réalisation d’une coloration par cytométrie en flux et la manipulation de gènes basée sur des vecteurs rétroviraux. Par rapport à la stimulation in vitro par cellules T, la stimulation in vivo pourrait activer les cellules T plus rapidement, même en 12 heures, et elle est entièrement activée pour la prochaine transduction du rétrovirus. Nos résultats aideront aux études explorant les mécanismes sous-jacents à l’engagement précoce de diverses cellules TFH spécifiques.
De plus, nos recherches contribueront à comprendre l’immunité humorale dépendante des lymphocytes T et à optimiser la conception des vaccins.