Nous étudions le potentiel des DPSC dans des applications cellulaires et acellulaires pour des modèles de maladies, tout en étudiant les mécanismes cellulaires et moléculaires impliqués dans la régénération des tissus. De plus, nous explorons le rôle des facteurs sécrétoires dérivés des cellules souches dans le contrôle du destin des cellules souches et la promotion de la régénération des tissus. Nous nous concentrons actuellement sur l’utilisation de techniques de culture 3D pour mieux comprendre les mécanismes moléculaires et les changements génétiques et épigénétiques associés à la régénération des tissus.
Nous intégrons des techniques avancées telles que le séquençage de nouvelle génération, le séquençage de l’ARN et le séquençage par puce pour démêler les domaines régulateurs régissant divers processus cellulaires. En utilisant des méthodes d’explant pour isoler la DPSC, une population homogène de cellules souches peut être récoltée efficacement, exempte d’autres cellules comme l’endothélium et les péricytes. Ces types de cellules restent dans la culture cellulaire lorsque les DPSC sont établies à l’aide de procédures enzymatiques.
Nos recherches utilisant les DPSC comme modèle cellulaire pour le criblage de médicaments et la régénération tissulaire peuvent développer de nouvelles thérapies, une médecine personnalisée avancée et avoir des implications profondes en médecine régénérative, y compris la reconstruction craniofaciale et la régénération osseuse in vivo après extraction dentaire. Nous étudions actuellement comment les DPSC peuvent être utilisés pour traiter les défauts osseux, tels que les défauts osseux longs et calvaires. De plus, nous explorons les implications thérapeutiques potentielles des molécules sécrétoires dérivées des DPSC dans divers modèles de maladies, notamment la neurodégénérescence et le glaucome.