Nous travaillons avec des cellules souches neuronales cérébrales, des cellules très clairsemées qui se regroupent dans des microenvironnements spécialisés appelés niches. Bien qu’ils contribuent à l’olfaction, à la mémoire et à l’apprentissage, ils sont extrêmement inefficaces pour stimuler la régénération. Ainsi, nous étudions leurs propriétés et les moyens de les manipuler pour augmenter la cicatrisation du tissu nerveux.
Nous avons montré que la contribution des cellules souches neurales cérébrales à la régénération est limitée par des facteurs endogènes et endogènes, tels que leur potentiel de différenciation restreint et leur dépendance aux facteurs du microenvironnement. De même, nous avons identifié des propriétés clés qui peuvent être utilisées pour concevoir des stratégies visant à moduler leur capacité. Le protocole de traite permet de prélever des cellules progénitrices d’oligodendrocytes et souches neurales cérébrales à partir d’animaux de laboratoire vivants.
Ainsi, il permet une analyse plus ininterrompue de leurs propriétés et de la performance des études longitudinales. À l’heure actuelle, il n’existe pas de techniques alternatives pour isoler les cellules souches et progénitrices murines du cerveau à partir d’animaux de laboratoire vivants. La norme de comparaison actuelle est l’isolement post-mortem de ces cellules, ce qui introduit diverses incertitudes expérimentales et des biais biologiques.
Nous étudions maintenant comment les cellules souches neurales du cerveau sont activées par la quiescence existante. Nous comparons également les propriétés de différentes populations progénitrices du cerveau. Par exemple, neurogènes versus oligodendrogènes, afin de définir leurs propriétés différentielles et leurs adaptations à des microenvironnements variés.