Notre recherche présente une méthode complète et efficace pour produire des organoïdes rénaux à partir de cellules souches pluripotentes induites, en utilisant des conditions de culture en suspension. Nous soulignons l’importance de la densité cellulaire initiale et de la concentration d’agonistes WNT pendant la phase d’induction, ce qui permettra d’éduquer de nouveaux chercheurs sur les organoïdes. À l’heure actuelle, il est difficile d’obtenir une seule lignée cellulaire à haute densité pour les cellules iPS.
L’impact sur les lots a été perceptible, en particulier dans diverses lignées iPSC. Les organoïdes rénaux de chaque lot peuvent avoir une forme et une taille variées. Plusieurs tentatives sont nécessaires pour obtenir la meilleure densité cellulaire initiale et la meilleure concentration de CHIR pour une lignée iPSC.
Nous avons établi que la différenciation initiale de la méthode intermédiaire est importante pour la réussite de la formation d’organoïdes rénaux. Notre protocole décrit en détail comment choisir les densités cellulaires optimales et les concentrations de CHIR au cours du processus, car différentes lignées d’iPSC ont montré des variations dans la prolifération cellulaire et la capacité de différenciation. Les chercheurs peuvent rapidement générer des organoïdes rénaux spécifiques à partir de leurs cellules iPS.
Selon notre protocole, en ajustant la densité cellulaire et la concentration de CHIR, il est sans aucun doute bénéfique pour tous nos chercheurs de se concentrer sur leur maladie rénale. Les recherches futures de notre laboratoire doivent optimiser la méthode du protocole dans les modèles de maladies, régénérer de nouveaux médicaments et le criblage de médicaments. Au cours des cinq dernières années, notre laboratoire s’est concentré sur l’épigénétique et le développement de médicaments cellulaires de diverses maladies rénales héréditaires, en se basant sur le développement du patient, les CSP et les modèles de maladies rénales organisées.