Le but de notre recherche est de comprendre comment la génération d’espèces réactives de l’oxygène régule la fonction plaquettaire et module la réponse hémostatique. Pour notre travail, il est essentiel de détecter de manière fiable l’espèce réactive clé de l’oxygène, l’anion superoxyde. La technique la plus courante pour détecter l’anion superoxyde est la cytométrie en flux avec DCFDA comme sonde fluorescente.
Ces limitations induisent la libération d’espèces réactives de l’oxygène, ce qui conduit à des données peu fiables. Il ne permet pas de distinguer, entre les différentes espèces réactives de l’oxygène, et il ne permet pas de quantifier les espèces réactives de l’oxygène plaquettaire. Cette vidéo présente deux techniques alternatives pour la détection des anions superoxyde plaquettaire.
La première technique utilise la DHE sur des plaquettes vivantes pour détecter l’anion superoxyde avec une cinétique rapide et une résolution unicellulaire. La deuxième technique utilise la sonde de spin, CMH, pour quantifier le taux de génération d’anions superoxydes par les plaquettes. Dans l’ensemble, les techniques présentées dans cette vidéo offrent des avantages significatifs par rapport à la plupart des techniques existantes, et représentent une avancée significative dans les outils expérimentaux à notre disposition pour étudier la régulation des plaquettes dépendante de Redux.