Notre recherche porte sur l’utilisation de nanostructures d’ADN amphiphiles programmables pour développer des cellules synthétiques qui imitent les cellules biologiques. Nous étudions comment et pourquoi nos nanostructures s’auto-assemblent et comment les rendre fonctionnellement complexes pour des applications potentielles telles que l’administration de médicaments, la modélisation de matériaux et le stockage d’informations. Tout d’abord, notre protocole introduit une plate-forme simple et modulaire pour concevoir des cellules synthétiques avec une complexité à la fois structurelle et fonctionnelle.
Ensuite, le recuit de l’ADN condensant des tubes capillaires en verre offre un moyen robuste de les produire. Et ce que nous aimons vraiment dans cette méthode, c’est que nous pouvons imager les condensats directement au microscope. En combinant nos condensats avec d’autres blocs de construction modulaires, nous avons montré comment un processus simple peut être utilisé pour générer des structures complexes sans avoir besoin d’équipements coûteux ou d’étapes de synthèse et de purification fastidieuses.
Nos travaux permettent à d’autres chercheurs dans le domaine de construire leurs propres cellules synthétiques à l’aide de nos nanostructures d’ADN amphiphiles. Nous espérons que d’autres tireront parti d’un protocole simple et robuste pour concevoir des structures réactives qui peuvent les aider à résoudre leurs propres questions de recherche.