Cette recherche vise à mettre en évidence le dynamisme et la large application de la perfusion Langendorff en tant qu’outil de recherche et son immense utilité dans la recherche sur les maladies cardiovasculaires. Il souligne également l’importance d’adapter les différents paramètres de perfusion, tels que les débits, les pressions, le perfusat et la température, afin de mieux répondre aux besoins expérimentaux. Ce protocole offre une approche alternative au statu quo actuel de la perfusion de Langendorff.
Il suggère que l’utilisation de pressions de perfusion inférieures à la normale, telles que 30 à 35 millimètres de mercure au lieu des 60 à 80 millimètres habituels de mercure, pourrait être bénéfique pour certains types d’expériences et pourrait améliorer les résultats scientifiques globaux des études pertinentes. Ce protocole renforce l’importance de la perfusion de Langendorff en tant que technique pour la recherche cardiovasculaire en éliminant la perte de fonction qui dépend de la technique. De plus, on s’attend à ce qu’il amorce une conversation sur les meilleures pratiques de perfusion pour les greffes cardiaques perfusées cliniquement, telles que celles qui sont conservées pour la transplantation.