1 L’un des aspects les plus difficiles de l’étude du PDAC2 ou cancer du pancréas est la disponibilité 3 d’un modèle expérimental 4 qui peut récapituler la progression 5 du PDAC des premiers stades de la proline 6 à l’état agressif. 7 L’autre défi est de capturer expérimentalement 8 la plasticité et l’hétérogénéité du PDAC. 9 Ainsi, l’utilisation de cellules PDAC IPS nous aidera à relever 10 certains de ces défis 11 et à élargir notre Outils expérimentaux pour étudier cette maladie.
12 Nous avons établi un protocole robuste 13 pour reprogrammer les PDAC en cellules iPS. 14 En générant plus de lignées iPS chez beaucoup plus de patients PDAC, 15 nous pouvons étudier la transition du cancer du pancréas 16 des stades précoces aux stades avancés et voir les points communs 17 et les différences entre ces lignées. 18 Cela nous aidera à découvrir des marqueurs de diagnostic précoce 19 qui couvrent plus de patients, 20 et à générer des médicaments qui ciblent 21 les différents états de la maladie.
22 La question intéressante qui est ressortie de la reprogrammation 23 PDAC en cellules iPS est la suivante : qu’est-ce qui rend ce cancer 24 si résistant à la conversion en sulfate par rapport aux cellules normales ? 25 Est-ce dû à des gènes spécifiques ou à des mutations génétiques 26 qui nous renseignent sur l’identité des cellules cancéreuses ?